Théâtre

Arthur et Ibrahim

Amine Adjina et Émilie Prévosteau

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Arthur et Ibrahim est le premier volet de la trilogie de la compagnie à l’adresse de la jeunesse avant Histoire(s) de France et Nos Jardins (tous accueillis au Gallia).

Une comédie à destination des jeunes dans une époque de crise identitaire qui relate une histoire d’amitié entre deux jeunes garçons face à l’incompréhension des adultes.

Pour satisfaire aux souffrances et aux angoisses de son père, persuadé de ne pas être aimé par les Français, le jeune Ibrahim arrête de jouer avec son copain Arthur parce qu’il n’est pas arabe. Arthur ne comprend pas cette décision et refuse cet état de fait. Alors, tous deux imaginent une chose folle : la transformation d’Arthur en arabe.

 

Entre incompréhension de la mère d’Arthur et de la maîtresse, les jeunes camarades de jeux vont pousser loin le processus, jusqu’à l’accident.

 

Face à la logique du monde des adultes, les deux jeunes vont faire une expérience qui sera déterminante pour leur amitié.

 

 

 

Dans la presse


" Alors qu’Arthur et Ibrahim sont deux copains fraternels, presque inséparables, le monde des adultes s’immisce dans leur amitié, dressant une barrière invisible mais lourde d’une histoire et d’un héritage familial. Obligés d’inventer un stratagème pour continuer à jouer ensemble, ils trouvent une solution un peu folle… Auteur et metteur en scène de cette comédie, fine, juste, et émouvante, Amine Adjina met en scène deux enfants qui entre école et familles, trottinettes et rampe de skate, évoquent avec une naïveté sincère les questions d’identité, de diversité, d’amitié. Ce spectacle dit par le rire l’urgence à parler, à échanger, pour « tenter de contrer la période obscure dans laquelle nous sommes. Une période de repli ». "  
Françoise Sabatier-Morel, Télérama (TTT).
 

 

"Arthur et Ibrahim, ou la preuve que le racisme peut être vaincu !
Trois séances tout public et trois séances scolaires (à destination des CM2, des 6e et des 5e , ce qui fait environ 500 élèves), dans un côté cour qui recevait la Cie du Double, pour cette pièce d’Amine Adjina aux accents de fraternité, ou plutôt de “copains fraternels”, comme aiment à le dire Arthur et Ibrahim, les héros de cette comédie. Et si on se mettait à écouter un peu plus nos enfants
(...) Et autant dire, qu’après avoir vu cette pièce il y a de quoi raconter, jouer, imaginer et surtout, se réjouir. Aidés par des acteurs très convaincants (en particulier Anne Cantineau, affublée de deux rôles qu’elle maîtrise magnifiquement bien), les dialogues nous transportent dans ce monde de l’enfance où tout paraît décidément possible. (...)
Une pièce qui met du baume au coeur, qui crie à la venue du bon sens, qui déploie son optimisme..."
Gérard Lucas, Dauphiné Libéré.
 

 

"Un coup de coeur l@muse ! On s’y précipite avec les enfants ! Une fable d’enfance et d’amitié, dans laquelle le rire et le tendre sont efficaces et donnent des accents de comédie à cette invitation au questionnement. A partager en famille avec les 9 ans et plus. (...)
Courez voir cette pièce qui sur le ton de l’humour et par le prisme du regard de l’enfant aborde les questions identitaires complexes.
Comment se construire et grandir en portant la souffrance des parents (un père protecteur et aimant mais bloqué dans une autre époque et empêtré dans son déchirement de n’être pas d’ici et plus tout à fait de là-bas) et le poids de l’histoire (ici la guerre d’Algérie).
Le ton est juste, chaque réplique faisant mouche, et les comédiens parfaits. L’innocence et le questionnement de ces deux ados bousculent et ça fait du bien ! Idéal pour ouvrir le débat en famille !"
Lamuse.

 

Distribution

texte Amine Adjina mise en scène Amine Adjina et Emilie Prévosteau avec Mathias Bentahar, Anne Cantineau, Romain Dutheil, Kader Kada et la voix de Xavier Fagnon lumière Azéline Cornut scénographie Maxime Kurvers création sonore Fabien Alea Nicol costumes Majan Pochard régie lumière Olivier Modol régie son Olivier Fauvel administration et production Adeline Bourgin

 

Production / Coproduction

production La Compagnie du Double coproduction La Scène nationale de l’Essonne Agora-Desnos ; Le Tarmac – La scène internationale francophone ; L’Estive – Scène nationale de Foix et de l’Ariège ; Le Théâtre de la Passerelle – Scène nationale des Alpes du Sud soutien du Fonds SACD Théâtre ; Association Beaumarchais ; SACD ; ADAMI – Projet bénéficiant du Fonds d’Insertion pour Jeunes Comédiens de l’ESAD – PSPBB production réalisée grâce au soutien de la DRAC Centre-Val de Loire et de la Région Centre-Val de Loire accueils en résidence Le Théâtre de Choisy-le-Roi, scène conventionnée pour la diversité linguistique ; La Halle aux Grains, Scène nationale de Blois ; Le Théâtre de la Passerelle – Scène nationale des Alpes du Sud ; la Scène nationale de l’Essonne – Agora-Desnos et Le Tarmac – La scène internationale francophone | Amine Adjina et Émilie Prévosteau sont artistes associés au projet du théâtre 71, Scène nationale de Malakoff | Amine Adjina et Émilie Prévosteau sont également artistes associés de la Halle aux Grains, Scène nationale de Blois et artistes complices de la Scène nationale d’Angoulême | La Cie du Double fait partie du projet Cap’étoile financé par la région Île de France | Depuis 2019, la Compagnie du Double est conventionnée avec la région Centre-Val de Loire, et depuis 2020 avec la DRAC Centre-Val de Loire

Crédits photos

Géraldine Aresteanu